Nous te présentons toutes nos condoléances à toi et au sein de ta famille.
Que votre entourage vous donne un réconfort pour supporter ce manque, cette absence. Pour Jacques, cela doit être un grand soulagement de ne plus souffrir...
Marie-France et Alain
Myriam Hucq
Chers amis de la Girolle,
J'ai bien connu aussi Jacques et Jenny et je me souviens, tout comme Serge, de son combat.
Apprendre le décès d'un copain du groupe est chaque fois très dur.
A Jenny, à sa famille, à vous tous, plein de courage et de tendresse.
Myriam qui vous embrasse
Serge Pietquin
Je pense que chacun d'entre nous connaissait le dur combat que menait notre ami Jacques depuis pas mal de temps. Il n'empêche que l'espoir demeurait réel quand on réalisait avec quelle détermination il luttait, un espoir d'autant plus fort que la science progresse sans cesse en ce domaine.
Mais nous savons aussi que la résistance d'un être humain a ses limites.
Même aujourd'hui, extérieur au groupe, il m'est arrivé de "chatter" quelques fois ou d'échanger quelques mails sans jamais déceler d'autres confidences que : "c'est dur, très dur... pour telle ou telle raison... mais bon.... on a changé mon traitement, on verra... et toi, comment vas-tu?"
Car il avait encore de l'attention pour d'autres et quand je participais encore aux répèts et aux concerts, j'étais chaque fois sidéré de le revoir malgré son lourd fardeau. Ce soir, j'ai vraiment de la peine et j'adresse à Jenny et à ses proches mes plus profondes et sincères condoléances.
Marie-France
Nous te présentons toutes nos condoléances à toi et au sein de ta famille.
Que votre entourage vous donne un réconfort pour supporter ce manque, cette absence. Pour Jacques, cela doit être un grand soulagement de ne plus souffrir...
Marie-France et Alain
Myriam Hucq
Chers amis de la Girolle,
J'ai bien connu aussi Jacques et Jenny et je me souviens, tout comme Serge, de son combat.
Apprendre le décès d'un copain du groupe est chaque fois très dur.
A Jenny, à sa famille, à vous tous, plein de courage et de tendresse.
Myriam qui vous embrasse
Serge Pietquin
Je pense que chacun d'entre nous connaissait le dur combat que menait notre ami Jacques depuis pas mal de temps. Il n'empêche que l'espoir demeurait réel quand on réalisait avec quelle détermination il luttait, un espoir d'autant plus fort que la science progresse sans cesse en ce domaine.
Mais nous savons aussi que la résistance d'un être humain a ses limites.
Même aujourd'hui, extérieur au groupe, il m'est arrivé de "chatter" quelques fois ou d'échanger quelques mails sans jamais déceler d'autres confidences que : "c'est dur, très dur... pour telle ou telle raison... mais bon.... on a changé mon traitement, on verra... et toi, comment vas-tu?"
Car il avait encore de l'attention pour d'autres et quand je participais encore aux répèts et aux concerts, j'étais chaque fois sidéré de le revoir malgré son lourd fardeau. Ce soir, j'ai vraiment de la peine et j'adresse à Jenny et à ses proches mes plus profondes et sincères condoléances.